Saturday, June 03, 2006

Comme ça faisait longtemps et qu'il change petit à petit, voilà un aperçu actuel de mon appart "venicien". Vue du salon.


















Et là, c'est Javier Camara, à l'American Cinematheque jeudi soir, à l'occasion de la série "cinéma espagnol" à l'Egyptian.
Vous l'aurez (re) connu c'est l'infirmier du film de P. Almodovar "Parle avec elle".















Dimanche, pas de surf pour moi malheureusement parce qu'hier j'ai abîmé ma planche sur un rocher...Petite entaille. Rien de grave, elle va passer 4 jours à la clinique 'Anderson'. Ça tombe bien puisque je me suis fait mal au genou pour éviter un mec dans l'eau (debout sur ma planche, j'ai entendu un 'crac' - classique, hein? mais ça ne m'était jamais arrivé-) et voilà, j'ai trés mal quand je fais certains mouvements vitaux pour me déplacer. Je boitille mais ça ne saurait durer je pense. On remet ça le WE prochain. Pardi!

Un réveil pourtant aux aurores pour cause de départ à Pomona (45 min à l'est de L.A), où se déroulait un car show (seulement 4 fois par an)...Non non ce n'était pas une campagne marketing pour la dernière animation Pixar, mais un vrai "marché" de la voiture de collection.
J'y suis allée avec des amis qui cherchent une vieille Ford Mustang, et comme je rêverais d'une mignonne petite décapotable ou d'une chevrolet/pontiac type "paquebot" (un peu comme celle qu'on avait à Montréal avec Niels), je les ai accompagnés. 3 exemples parmi tant d'autres (en encore on a dû faire le 1/4 de l'immense parking dans lequel étaient exposées toutes ces merveilles...)













































Ce WE nous retrouvions notre "Comedy stand up guy", vous l'aurez tout de suite compris, il s'agit de Julien (y aura-t-il désormais un peu plus de commentaires sur ce blog, de fait?). Encore un peu et nous l'aurions pris pour un autre... ; - 0

A propos de stand up, voilà un peu de lecture pour vous plus bas.
Vous reconnaîtrez, à part notre écrivain-"wannabe surfer"-TV addict- et ami, Greg, les archis, Sylvie et Mélanie. La fidèle bande de joyeux drilles. Faut-il mentionner les rires et cactus collectés ce soir là ?






Le "stand-up" gagne l'Hexagone
LE MONDE | 03.06.06 | 14h10 • Mis à jour le 03.06.06 | 14h10
énération stand-up : c'est le titre que le festival Courts & Drôles avait donné à sa huitième édition, samedi 27 mai à Paris. A tour de rôle, des jeunes humoristes blacks, blancs et beurs ont défilé sur scène. Avec un flegme étudié ou une belle énergie physique, ils ont brocardé les terroristes, les documentaires animaliers, les préjugés visant la banlieue ; ils ont ironisé sur les relations hommes-femmes, raconté leurs propres déboires, moqué leur laideur ou leur célibat.

Tomer Sisley, Amelle Chahbi, Booder, Thomas Ngijol, Patson et Fabrice Eboué, Mustapha, "comiques urbains" doués de tchatche corrosive, sont quelques-uns des représentants notoires du "stand-up" à la française qui font la conquête des scènes de théâtre et des plateaux de télévision. Pas de sketches bordés par un début et une fin, nulle galerie de personnages. Mais une belle proximité avec l'auditoire, obtenue en adoptant le ton de la conversation.

Signifiant "debout" en anglais, le stand-up est apparu dans les bars et les cabarets dans les années 1960, afin de divertir des clients attablés avec un rire toutes les vingt secondes et des thèmes alternant toutes les trois à quatre minutes.

Des personnalités ont excellé dans cet art dépouillé de tout décor - exception faite d'un micro et d'une bouteille d'eau. Il a donné lieu à des sitcoms, comme celle de Jerry Seinfeld, et à des émissions de télévision à succès, tel le "Late Show with David Letterman". Eddie Murphy ou Jim Carrey ont, eux, déclenché sur les planches des vagues de rire avant de faire carrière au cinéma.

Le stand-up, "c'est d'abord une attitude qui consiste à ne pas réciter son texte", explique Tomer Sisley, l'un des premiers à introduire, en 2002, ce genre en France en accolant le label "stand-up" à son spectacle. Formé à la Ligue d'improvisation théâtrale de Tours, dont il fut le capitaine de l'équipe junior, le jeune Mustapha, 20 ans, à l'affiche depuis plusieurs mois au Théâtre Le Temple, à Paris, en est convaincu : "Les gens sont un peu blasés des one-man-show traditionnels avec le mécano bourré ou le coiffeur homo."

L'exercice confère une grande liberté à ceux qui le pratiquent. Autant de styles que d'humoristes : boutades moralistes, observations sur le quotidien, réflexions sur les rapports humains ou l'actualité politique.

Après les Etats-Unis, où il existe quantité de manuels pratiques et d'écoles du stand-up, le genre fait aujourd'hui florès en France, grâce à des artistes qui revendiquent une filiation avec leurs aînés d'outre-Atlantique. Ce lien est entretenu par le visionnage fréquent des cassettes vidéo ou DVD de leurs spectacles. Tomer Sisley a ainsi contracté une admiration précoce pour Robin Williams, lorsque celui-ci jouait dans une série dérivée de "Happy Days". "J'ai vu tous ses spectacles et beaucoup, beaucoup d'autres. J'ai vite appris à parler anglais, je ne ratais rien, j'étais à l'affût."

Disparu en avril 2005, l'Américain Richard Pryor, qui a renouvelé la manière de parler de la condition afro-américaine, est l'une des idoles de Thomas Ngijol, humoriste talentueux parrainé par Jamel Debbouze, qui sera, comme Patson et Fabrice Eboué au Théâtre de Dix-Heures à partir du 15 septembre.

Leur producteur, Kader Aoun, par ailleurs auteur de sketchs et collaborateur attitré de Jamel Debbouze, explique : "Le stand-up est une forme de spectacle où on peut faire parler ses sentiments, son coeur, tout en étant en même temps très trivial. Dans les banlieues, il y a des stars du stand-up qui jouent devant des comités restreints dans des halls d'immeubles. Ils dégagent la même énergie et possèdent le même rapport populaire à l'écriture que les rappeurs."

Kader Aoun et Jamel Debbouze ont donné, mi-avril, un coup de projecteur sur une vingtaine de talents émergents lors du spectacle "Jamel et sa bande", à l'Espace Jacques-Prévert d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Cette troupe animera le "Jamel Comedy Club", cycle de huit émissions hebdomadaires qui seront diffusées à partir du 15 juillet sur Canal+, avant de se produire au Bataclan en février 2007.

De son côté, le directeur du festival Courts & Drôles, Kamel Lahmadi, lance à la rentrée de septembre un nouveau rendez-vous hebdomadaire, le "Stand-up Club", au sein de la discothèque Bus Palladium, à Paris, où des jeunes roderont leurs numéros.

Tomer Sisley met cependant en garde contre les effets de mode : "En France, on attribue trop de vertus au stand-up, qui n'est qu'une forme. Tout dépend du contenu que l'artiste y met."

Le "Jamel Comedy Club" sera diffusé à partir du 15 juillet sur Canal+, en clair, à 20 heures.

Macha Séry
Article paru dans l'édition du 04.06.06

5 Comments:

Anonymous Anonymous said...

LA, here i come !! à moi surfin', vibin',pumpkins', et les crèmeries pas pire

12:57 AM  
Anonymous Anonymous said...

wooww ! gonna be fun...

8:44 PM  
Anonymous Anonymous said...

woua! si cest pas dingue tout ca. une hallu!

1:45 AM  
Anonymous Anonymous said...

oh lala ton petit appart chou fleur... il est trop beau
et toi comme tes belle - tu me manques trop mon petit coeur...

5:41 PM  
Blogger lambassadrice said...

ma ptite soeurette, à moi aussi tu manques...à trés vite vite Marseille en Juillet!

6:27 PM  

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