The Award season...
L'hiver, comme il fait vraiment trop froid et qu'on ne peut plus surfer (rassurez-vous ça ne dure que quelques petites semaines), on essaie de s'amuser autrement. Alors, Hollywood, chef lieu de "l'amusement", a inventé la saison des "prix". Pas des "moitié-prix" ou "hors de prix", ni "on casse les prix", mais de véritables remises de prix.
Cette saison, qui commence en fin d'année, se poursuit jusqu'aux OSCARS, les récompenses ultimes, le 25 février prochain. Les heureux nominés ont été dévoilés aujourd'hui même. Maintenant, c'est à qui arrivera à mettre les plus de 5800 votants dans son camp. Et que le meilleur gagne !
Bref, tout le monde remet son award, des journalistes aux satellites.
Et nous, nous y étions : - )
L'idée est donc, pour chaque association, de récompenser les MEILLEURS films, réalisateurs, acteurs, compositeurs etc...de 2006.
The Awards Season, ou comment le monde s'arrête de tourner pendant quelques mois à Hollywood. Tous les yeux sont rivés sur les télés !
Evidemment, ces remises de prix ont plus ou moins d'importance selon de qui elles viennent.
La soirée (Los Angeles Film Critic Awards) organisée par les critiques de cinéma de notre chère Los Angeles est l'une de celle que l'on surveille de prés (rappelez-vous, l'année dernière Philipp Seymour Hoffman - pour sa prestation dans "Capote" - avait été sacré meilleur acteur...avant de recevoir l'Oscar au même titre quelques mois plus tard).
Nous furent donc de la partie, bel et bien attablés à l'inter-Continental (feu Hyatt) de Century City pour cette interminable soirée (6.30pm -1.30pm). A ma gauche, l'agent de Forest Whiteker (The Last King of Scotland) et de Jennifer Hudson (Dreamgirls) où l'un des agents les plus riche et heureux (ça ne va pas ensemble par ici ?) d'Hollywood. Ses deux "poulains" étaient nominés ce soir là et l'un repartira avec une trés vilaine plaque - "The best actor award", ex aequo avec Sacha Baron Cohen (Borat).
Plus tard, je me retrouvais devant Clint Eastwood auquel, tétanisée d'admiration, je serrais la main. Impossible de me prendre en photo avec lui. Un paparazzi s'occupait de ça. C'est "Letters from Iwo Jima" (compagnon de "Flags of our Fathers", la même guerre, mais du point de vue des japonais) qui remportait la suprême récompense, celle du meilleur film.
Pendant ce temps là, ce même paparazzi ne perdait pas le nord...(ici avec Steven Spielberg s'il est besoin de le préciser)
Samedi dernier c'était au tour des producteurs (Producers Guild of America). Et c'est "Little Miss Sunshine" qui reçu le prix du meilleur film.
Rappelons que depuis 17 ans, 11 fois la PGA et l'AMPAS (Academy of Motion Picture Arts and Sciences) - qui remet les Oscars - ont fait les mêmes choix. Donc bcp d'espoir cette année pour ce "petit film indépendant"...
Puis, fatiguée d'Hollywood et de ses "paillettes", c'est à la maison que je regardais les Golden Globes en bonne compagnie et autour d'une frangipane, qui elle aussi nous couronnait d'une petite statuette...le santon, cong!
2 Comments:
And the winner is...
...ce très bon article pétillant sur la award-season ^^
(c'est bon les awards)
Hi Mathilde
I am somehow touched by your shyness, as I was myself impressed when you shook my hand. Next time, please walk up to me, we live only once!
Clint
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